J’ai le plaisir de jouer dans « Memento mori », pièce de théâtre immersif policier de Jean-Patrick Gautier, avec la Compagnie 5eActe aux Érables de Meudon. Du 21 au 24 octobre et du 28 au 31 octobre 2019. Reprise les 7(15h-20h), 14(20h), 21(15h-20h), 26(20h), 27(20h), 28(15h-20h), 30(20h), 31(20h) décembre 2019 et les 2(20h) 3(20h) janvier 2020.
Tournées
Reprise de « Des enfants à croquer », d’Etienne Roche et Jonathan Swift, dans le cadre du Festival de musique d’Ile de France, en septembre 2016.
Reprise de « Rallumer tous les soleils, Jaurès, ou la nécessité du combat »de Jérome Pellissier, en novembre 2016 et février 17.
Reprise de « Andorra » de Max Frisch, en mars 2017.
Casimir et Caroline
À partir du 30 avril, j’ai le plaisir de commencer les répétitions de « Casimir et Caroline » d’Horvãth avec le Théâtre du Masque d’Or, mise en scène de Fabrice Pierre.
Le spectacle se donnera cet été sous chapiteau, du 14 juin au 16 juillet, à Amilly, tout à côté de Montargis. Je jouerai le rôle de Merkl Franz.
Andorra
Du 5 janvier au 14 février 2016, je jouerai au Théâtre Treize, « Andorra », une pièce de Max Frisch, avec la Compagnie Orten, dans une mise en scène de Fabian Chappuis. J’y jouerai le rôle de Prader le Menuisier.
Rallumer tous les soleils, Jaurès ou la nécessité du combat
J’ai le plaisir de reprendre « Rallumer tous les soleils, Jaurès ou la nécessité du combat ».
-Le 20 novembre à Lagny-sur-Marne et le 27 novembre à Maison Lafitte.
-Pour neuf représentations du 30 novembre au 16 décembre,les lundis mardis et mercredis, au Théâtre de l’Épée de bois, à la Cartoucherie de Vincennes.
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Des Enfants à croquer
Je participe en ce moment à la création de « Des enfants à croquer »
Un Opéra avec voix d’enfants d’après « Modeste proposition », pamphlet satirique de Jonathan Swift, où je joue le Conférencier.
Jonathan Swift n’est pas uniquement un conteur extravagant, l’auteur des Voyages de Gulliver. Il suffit de se plonger dans ses écrits pour relever son art de la provocation et sa lecture visionnaire des maux d’une société où la cruauté n’est due qu’à une seule nature : celle de l’Homme en tant qu’animal. Puisque chacun doit contribuer à la richesse commune, il pousse la logique à son terme : les pauvres et leurs enfants doivent être réinsérés dans le cycle économique. Quitte à ce que cela soit de la plus folle manière. »Un jeune enfant bien sain, bien nourri, est, à l’âge d’un an, un aliment délicieux, très nourrissant et très sain, qu’il soit bouilli, cuit à l’étuvée ou au four, et je ne mets pas en doute qu’il ne puisse également servir en fricassée ou en ragoût. » Jonathan Swift (suite…)
Jaurès, la vérité et le silence
Une nouvelle occasion pour moi d’incarner Jaurès !
Sur scène, deux pupitres, des cubes noirs, dessinant une estrade surmontée d’une tribune. Le spectacle commence le 31 juillet 1914, jour de l’assassinat de Jaurès.
Entre lecture et mise en espace, entre narration et jeu, nous sommes deux comédiens, tantôt incarnant, tantôt racontant les combats de Jaurès contre la guerre et la vie de « Théodore », un soldat au front. Perpétuel aller et retour entre histoire intime et histoire collective, sur le fil tendu d’un accordéoniste.
À la télévision, ce spectacle pourrait être classé parmi les docu-fictions. (suite…)
Rallumer tous les soleils : JAURÈS ou la nécessité du combat
J’ai l’immense plaisir d’incarner Jean Jaurès cette saison au théâtre, le rôle est énorme, colossal, à l’image de cet homme et de sa vie.
Ce 31 juillet 2014, cent ans, jour pour jour après son assassinat nous avons donné une avant première du spectacle :
« Rallumer tous les soleils JAURÈS ou la nécessité du combat »
au Théâtre de L’Épée de bois, à la cartoucherie de Vincennes . (suite…)
Quelques coups de coeur au théâtre
Voici quelques-un de mes coups de coeur en tant que spectacteur au théâtre.
Tartuffe
Mis en scène par Roger Planchon en 1973. C’est pour moi le premier choc !
J’ai 17 ans et Molière souffre encore à mes yeux, de la poussière des années du collège.
Grâce à Planchon, je découvre la force et la modernité du texte de Molière, l’intelligence, la justesse et la puissance d’une mise en scène mais surtout, je comprends que le théâtre peut générer des émotions aussi énormes qu’un concert de musique.
Peer Gynt
Mis en scène par Patrice Chéreau en 1981. Nouveau choc face à une écriture visuelle novatrice qui laisse une part importante au mystère, au fantasmagorique; émerveillement devant l’hyper expressivité du jeu de l’acteur, l’engagement total du corps dans un univers très proche de l’expressionnisme allemand. (suite…)